La Maison Rubens bouillonne d’activité, comme au temps de Rubens. Elle organise régulièrement des expositions temporaires en lien avec l’art et la personne de Pierre Paul Rubens.
La bataille des Amazones est sans doute antérieure au départ du jeune Rubens pour l’Italie en 1600. Cette toile est intéressante pour deux raisons: c’est une des œuvres les plus anciennes connues de Rubens et la première œuvre connue réalisée en collaboration avec son collègue et bon ami Jean I Brueghel.
La Fondation Roi Baudoin a acheté en janvier 2012 le manuscrit De Ganay et remis ce précieux document en prêt permanent à la Maison Rubens. L’exposition Rubens à contre-courant. Le carnet de notes théoriques du maître célébrait cette belle acquisition en le présentant au grand public.
Cette exposition s’interrogeait sur le mode de fonctionnement de l’atelier de Rubens. Copy/Paint levait un coin du voile sur base de deux portraits de la même personne (Michiel Ophovius).
Cette exposition avait été montée après la restauration de la toile de Jacob Jordaens Le joueur de cornemuse. Le visiteur pouvait donc admirer de ses propres yeux le résultat des travaux de restauration dans le Grand Atelier de la Maison Rubens.
Les Anversois fortunés du 17e siècle accumulent de grandes collections d’art. La collection de Rubens est la plus riche de la ville. Elle contient une multitude de précieux objets de collection et de pièces uniques.
Cette exposition offrait un regard intéressant sur l’univers de William et Margaret Cavendish et la vie culturelle anversoise dans les années qui suivirent la mort de Rubens.
Sam Dillemans est un grand artiste contemporain qui vit et travaille depuis des années à Anvers. Il s’était inspiré pour cette exposition de quelques œuvres connues de son illustre collègue Pierre Paul Rubens.
La collection d’art a été longtemps l’apanage des têtes couronnées et des hauts ecclésiastiques. Elle s’étend aux riches bourgeois amateurs d’art à partir du 16e siècle. Rubens se bâtit lui-même une impressionnante collection au cours de sa vie.
Cette exposition fut montée à l’occasion de l’acquisition d’un livre de dessins du jeune Rubens, qui s’inspirait d’une série de gravures d’Hans Holbein II (1497/98-1543).
L’exposition Van Dyck. Inspirerende landschapstekeningen rassemblait pour la première fois une partie importante des dessins et aquarelles de paysages d’Antoine van Dyck.